je pense que tout le monde est au courant

http://www.urban78killer.com/guide_education_odebi.pdf

jviens d’imprimer, j’lis dès qu’j’ai l’temps ça a l’air interessant…

tres interessant et tres bien fichu je trouve

perso je me demande si ça va vraiment apporter quelque chose quand on voit le poids des maisons de disques

j’étais pas au courant pour cette brochure sur la « net attitude » financé par l’éducation national, c assez choquant quand même… le doc est très interssant, plein de bons arguements, chiffres, etc…

Mais le top reste l’une des dernieres ligne où il est rappelé qu’en france pirater un cd c 300.000 € d’amendes alors que battre un gosse c 45.000€, bravo pour l’échelle des valeurs:rolleyes:

des enfants il y en plein tandis que des pauvres maisons d’étitions il n’y en pas beaucoup… et puis leur chiffre d’affaire stagne. bientot on va les plaindre

les maisons d’étitions comme on les connait sont appelé à disparaitre… ou elles s’adaptent ou elles meurent.
je ne vais pas pleurer sur leur sort.

par contre le probleme des droits d’auteurs est interessant (même si dans les négociations on ne leur demande pas leur avis).
au lieu de penser à sauver les maisons d’édition ils devraient plutot essayer de trouver un moyen de reverser de l’argent aux auteurs dont les oeuvres sont téléchargés. finalement c’est eux la matière première et il serai peut-etre temps d’arreter de les prendre pour des cons

pas mal du tout ce document. J’était pas courant non plus que l’état avait fait une plaquette anti-P2P pour l’education. C’est n’importe quoi, je ne sais pas si cette plaquete « pro-P2P » changera les choses mais c’est une bonne initiative. Bon en attendnat je vais allé attrapé un gamin qui sort de l’ecole primaire c’est moin risqué et plus marrant.:gun

chuck rassure moi c un montage, c’est pas un vrai doc ?

c’est pas gagné.

Mobilisation en faveur de la redevance sur les abonnements internet
Ses partisans – artistes, interprètes et consommateurs – estiment qu’elle présente l’avantage de légaliser les échanges de musique sur le peer-to-peer, tout en rémunérant les ayants droit. Mais maisons de disques et FAI y sont toujours opposés.

«C’est tout de même extraordinaire! le projet de loi sur le droit d’auteur est vide en ce qui concerne l’internet et le téléchargement.» Irrité, Jean Vincent, le directeur juridique de l’Adami (*), compte intervenir durant le prochain débat parlementaire pour défendre sa proposition: «Rendre incontestablement licites les actes de téléchargement et de mise à disposition sur internet, à des fins non commerciales.»

Elle a été rédigée par le collectif l’Alliance Public-Artiste, qui rassemble des sociétés d’artistes interprètes (Spedidam, Adami), d’auteurs (SAIF – Syndicat des auteurs des arts visuels et de l’image fixe…), des associations de consommateurs (UFC-Que Choisir, CLCV) et familiales (Unaf – Union nationale des associations familiales).

Une proposition résumée dans le concept de la «licence globale», qui, il y a quelques mois, était encore baptisée «licence légale». Sur le fond, le principe reste identique: prélever une somme forfaitaire sur les abonnements des fournisseurs d’accès internet. Elle servira d’une part de rémunération pour copie privée, «qui couvrira les actes de téléchargement», et d’autre part de rétribution au titre exclusif de mise à disposition du public «pour les actes de partage».

Une nouvelle société de perception

L’Alliance a donc préparé plusieurs amendements au projet de loi sur le droit d’auteur et les droits voisins à l’ère numérique, en passe d’être examiné par le Parlement. En priorité, elle demande que les fournisseurs d’accès soient contraints, par la loi, d’inscrire la mise en place de cette rémunération dans les conditions contractuelles qu’ils font signer à leurs clients.

Des clients qui conserveraient tout de même le choix d’accepter ou non de payer plus cher. «En cas de refus de ce contrat, ils ne pourront pas procéder au partage d’œuvres protégées sur internet, sans risquer de se retrouver en situation de contrefaçon», précise Jean Vincent.

Cela nécessite la création d’une nouvelle société de perception, selon un autre amendement de l’Alliance, qui estime que les tarifs et les conditions d’application de cette rémunération doivent être négociées par l’ensemble des ayants droit concernés, avec les associations de consommateurs et en présence des fournisseurs d’accès à internet.

Pas de solution pour les logiciels et les jeux vidéo

L’UFC-Que Choisir a réalisé une «étude d’impact» pour tenter de déterminer le montant minimum de cette rémunération. «L’impact du téléchargement est très complexe à appréhender, car cela entraîne des pratiques de substitution, mais il a aussi un impact cumulatif», souligne Julien Dourgnon, son chargé de mission, et auteur de l’étude.

En se basant sur un nombre d’abonnés à l’internet haut débit d’environ 14 millions d’ici à 2010, il estime qu’une rémunération oscillant entre 4 et 7 euros par mois permettrait de compenser la perte de revenus générée par les téléchargements.

À 5 euros, une redevance permettrait de dégager entre 700 et 800 millions d’euros par an. Il faut noter, par ailleurs, que le niveau de rémunération le plus élevé prendrait également en compte le téléchargement de films datant de plus de quatre ans.

Selon l’Adami, ce dispositif serait également une réponse adaptée aux nouvelles technologies, qui permettent l’échange ou l’enregistrement de musique en ligne, comme le logiciel Station Ripper (il enregistre à la volée un flux musical, comme celui transmis par une webradio).

Mais quid des œuvres cinématographiques récentes, des logiciels et des jeux vidéo, principales cibles des amateurs des réseaux peer-to-peer? Les réponses restent évasives, d’autant que les deux derniers ne sont pas soumis au régime de la copie privée.

«Une tartufferie phénoménale» pour la SCPP

Licence légale ou globale, l’Alliance aura de toute façon bien du mal à convaincre le reste du secteur de la pertinence de son projet. Les producteurs y sont farouchement opposés, car leur analyse économique est radicalement différente. «C’est une tartufferie phénoménale», commente Marc Guez, le délégué général de la SCPP (Société civile des producteurs phonographiques): selon lui les téléchargements se substituent à l’achat physique de CD, et ne constituent en aucun cas un élément cumulatif.

Si bien que pour les maisons de disques, si redevance il devait y avoir, elle devrait être beaucoup plus élevée, pour compenser un manque à gagner gigantesque. Les estimations de la SCPP établissent une compensation minimum de 38 euros par mois et par internaute.

Cinq euros ou 38 euros, c’est non aussi pour les FAI. «Ce serait inéquitable, alors que ça n’est pas l’usage principal du haut débit», souligne Marie-Christine Levet, présidente de l’Afa (association des fournisseurs d’accès) et P-DG de Club-Internet. «On se gargarise sur la progression du haut débit en France, mais il ne faut pas oublier que beaucoup de personnes n’ont pas encore d’accès internet, alors il n’est pas question d’alourdir la facture de l’abonnement.»

Le gouvernement lui-même, par la voie du ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres, s’est prononcé plusieurs fois contre une telle solution. «Nous nous tournons désormais vers les députés», réplique Jean Vincent. Il semble avoir été entendu par le parti socialiste, car une proposition similaire fait partie des amendements proposés au projet de loi par les députés PS Patrick Bloche, Christian Paul et Christophe Caresche.

juste un rappel : le salaire mensuel de pascal negre, pdg d’universal france : 83000 € net ! faut en vendre des singles de jennifer

c’est clair mais à les entendre c’est la ruine… faudrai peut-etre relativiser et se remettre en question au lieu de pointer du doigt les « pirates »

j’adore le « il n’y en a en aucun cas accumulation, juste subsitition ». :stuck_out_tongue:
comment ils peuvent oser dire qu’on achèterait vraiment tout ce qu’on dl? ils se rendent pas compte de ce qu’ils vendent ou quoi…?

38 € par mois… mais qui à un budget de 38€ par mois pr la musique dans le grand public? c’est du délire…

ils se rendent pas compte (enfin si, ils s’en rendent très bien compte mais ne peuvent pas le dire) que sans le p2p, une partie des merdes qu’ils produisent ne quitterait pas les rayonnages de carrefour.

ça c’est sûr.
j’vois perso j’achete des disques que j’aurai acheté et je dl ceux que de toute manière je n’aurai pas payé… son à la masse

et sans compté que d’aprés une étude (que je ne retrouve plus) ceux qui téléchargent achetent aussi des disques et découvrent même grace à ce procédé de nouveaux artistes.

ça c’est sur, parceque le nombre de truc que j’ai découvert et que j’ai acheter le cd en découvrant par hasard sur le net parceque j’avais l’occaz de d/l ça ou autre, c’est ouf…donc ils en perdent certe mais sa aide pas mal de groupes qd meme…
enfin ça tout le monde le sait déja…