le but n’étant pas forcement de relancer un énième débat, j’espère que celà ne va pas finir par 50 pages de discussions stériles:
Selon une étude, certains végétaliens refusent les rapports sexuels avec les mangeurs de viande.
Une pratique logique mais extrême, selon un végétalien interrogé par LCI.fr.
Après « l’hétérosexualité, l’homosexualité, la transexualité, sans oublier l’ubersexualité (la métrosexualité est morte il y a bien longtemps), il y a maintenant une nouvelle forme de sexualité en ville », annonce une journaliste dans un blog du New Scientist. « Les végétalosexuels (vegansexuals) ne mangent aucune viande ni aucun produit issu d’animaux et ne veulent pas avoir de rapports sexuels avec les personnes » qui ne partagent pas leur choix alimentaire.
La journaliste appuie son affirmation sur les résultats d’une étude menée en Nouvelle-Zélande auprès d’adeptes du végétalisme. Il est apparu qu’un certain nombre de personnes, majoritairement des femmes, refusent tout contact intime avec des partenaires amateurs « d’animaux morts ».
Un choix pratique - le végétalien ne veut pas avaler par accident un bout de viande qui serait resté coincé dans la bouche de son/sa partenaire ! - mais surtout éthique et moral : « Nos univers seraient trop éloignés », résume une femme interrogée dans le cadre de l’enquête.
Logique mais extrême
La journaliste va peut-être un peu loin en évoquant une nouvelle forme de sexualité. Ne serait-ce que parce que l’étude porte sur les témoignages de 157 personnes seulement. C’est peu pour évoquer un mouvement. Confirmation de Colin, végétalien de 36 ans contacté par LCI.fr : « C’est la première fois que je vois passer une telle information ». Pour autant, il reconnaît que « c’est plus ou moins logique » : après tout, qui se ressemble s’assemble.
« J’avais une copine qui mangeait de la viande, souligne Colin. Parfois, cela se passait mal et c’était assez inconfortable. » Et d’ajouter en riant : « Quand il y avait de la tension entre nous deux, elle mangeait de la viande devant moi ! » Les couples mixtes (herbivores-carnivores) ne sont pas forcément voués à l’échec, précise encore Colin : « Ma sœur est végétarienne et son mari mange de la viande. Elle peut même lui en cuisiner alors que moi, je ne saurais pas faire ça pour ma compagne ». Alors, la végétalosexualité, trop peu pour cet homme qui rejette le comportement extrême, « presque religieux », de certains végétaliens