Faits divers

http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-temoignage-accablant-de-l-ex-compagne-de-cheb-mami-16-05-2009-514464.php

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/tirs-a-l-arme-de-guerre-contre-policiers-du-jamais-vu-17-05-2009-516115.php

http://www.leparisien.fr/faits-divers/l-incroyable-mensonge-du-touriste-allemand-18-05-2009-516502.php

" Roberto Moellon devrait sans surprise être déclaré pénalement irresponsable du meurtre abominable de sa mère, commis le 30 septembre 2007 à Saint-Louis. L’audience d’hier, exceptionnelle, a permis aux familles d’avancer dans leur travail de deuil.

Roberto Moellon a effectivement tué sa mère avec un acharnement abominable. Et il l’a fait sans être en possession de ses moyens. Hier, la chambre de l’instruction de Saint-Denis a mis sa décision en délibéré au 16 juin, mais il ne fait aucun doute que cet homme de 41 ans sera déclaré pénalement irresponsable du meurtre d’Elisette Moellon, tuée le 30 septembre à Saint-Louis de 19 coups de couteau.

L’homme s’était acharné sur le corps de sa victime, lui arrachant le cœur et lui crevant les yeux avec les pouces. Il avait été surpris par la police couvert de sang, en train de déplacer le corps de la malheureuse. D’entrée, Roberto Moellon en profite pour formuler des excuses. « Je demande pardon à ceux que j’aime de tout mon cœur. J’ai fait un gros travail pour reconstituer ce qui s’est passé ce jour-là. Au début, je ne me souvenais pas », explique-t-il.

“Un cas d’école, un diagnostic évident »

Des excuses qui ne suffisent pas à tous. Yano, son demi-frère, passe à la barre. « Je refuse le pardon qu’il demande. Pour moi, mon frère est mort le jour où il a assassiné ma mère », lâche-t-il, tentant de ravaler ses sanglots. Roberto, lui, craque. « Mon frère. On ne pourra pas la remplacer, mais je t’aime toujours. Je comprends ta haine mais je t’aime de mon cœur », explique-t-il d’une voix claire.
Les membres de la famille se succèdent à la barre. L’émotion est à fleur de peau tandis que certains le soutiennent et d’autres le vouent aux gémonies. Le mis en examen répète sa position : « C’est Satan que j’ai tué, pas ma mère. J’aimais ma mère plus que tout. »
Les quatre experts-psychiatres interrogés hier, qui ont suivi l’homme depuis le lendemain du meurtre jusqu’à il y a quelques mois partagent un même diagnostic : l’homme a subi des « bouffées délirantes aiguës ». En d’autres termes, il connaissait des hallucinations visuelles et auditives. « Il a vraiment cru avoir Satan en face de lui. Il a voulu détruire jusqu’au tréfonds de Satan pour purifier le monde », analyse un expert. Ce n’était plus sa mère en face de lui, mais bien une figure démoniaque… Cette position soulève les interrogations légitimes des parties civiles. Est-il possible que Roberto Moellon ait mimé la folie pour s’éviter la prison à vie, tel le célèbre “Pierrot le fou”, en métropole ? Me Nicolas Normand, l’avocat des demi-frères de Moellon pose la question aux experts-psychiatres auprès de la Cour de cassation. La réponse claque : « C’est un cas d’école. Le diagnostic est tout à fait évident. Il s’agit d’une paraphrénie, il a des hallucinations et démontre une pseudo-adaptation à la réalité », notent Roland Coutanceau et Serge Bornstein, experts auprès de la Cour de cassation, à Paris, et références incontournables de la spécialité en France.
Le Dr Christin, qui a expertisé Moellon au lendemain de sa garde à vue, alors que ce dernier était en plein délire, en arrive aux mêmes conclusions : « Des voix le commandent », précise-t-il.
L’avocat général François Basset a demandé dans ses réquisitions que la chambre de l’instruction constate que Moellon est l’auteur de l’assassinat de sa mère. Me Normand a demandé pour sa part un renvoi sur intérêts civils. La principale question qui reste à poser est la suivante : que va-t-il arriver à Moellon une fois qu’il sera interné ? Va-t-il rester en soins durant des décennies, aussi longtemps que s’il avait été jugé ? La justice n’a pas à se prononcer à ce sujet, et les médecins du meurtrier “présumé” auront à cet égard une très lourde responsabilité dans les années à venir.

Une première judiciaire qui satisfait tout le monde

Les procès d’assises où la culpabilité de l’accusé ne fait pas de doute servent le plus souvent aux parties civiles pour faire valoir leur statut de victime. Pour que la société reconnaisse le mal qui a été fait. Pour l’honneur et la reconstruction mentale, après que le pire ait été accompli. Mais quand un crime aussi odieux que celui commis - assurément dans un état de démence - par Roberto Moellon n’est pas jugé, la douleur des familles est énorme. C’est pour cette raison que l’audience qui s’est tenue hier - une « première à la Réunion » selon l’avocat général François Basset - est exceptionnelle. Pas un procès, mais bel et bien une audience publique. C’est une loi récente, du 25 juillet 2008, qui permet la publicité des débats sur l’irresponsabilité pénale des mis en examen. « C’est justice que les parties civiles soient informées de l’avis des experts. La société a offert un face-à-face aux victimes », a précisé hier Me Nicolas Normand, l’avocat des demi-frères de Roberto Moellon.
Me Videlo, l’avocate du mis en examen, s’est aussi félicitée de la tenue de cette audience, malgré ses réticences initiales. « Cette souffrance, ces inquiétudes devaient être entendues et c’est chose faite », s’est félicité François Basset. « Même si la famille a été brisée avec la mort de maman, qui était notre ciment, on va maintenant pouvoir avancer. Aujourd’hui, cette audience nous a fait du bien », a lâché Yano Hoarau, le demi-frère, au sortir de l’audience. Un premier pas dans la reconstruction, et une forme de baume au cœur."

Un article de Julien Balboni.

Source : CLICANOO.COM (3 juin 2009)

" Le détenu de la maison d’arrêt de Rouen comparaîtra en automne 2009 devant les assises de Seine-Maritime

Le détenu de la maison d'arrêt de Rouen, accusé d'avoir tué l'un de ses co-détenus puis mangé un morceau de ses poumons, comparaîtra devant les assises de la Seine-Maritime à l'automne 2009.

Un expert avait estimé que le discernement de Nicolas Cocaign, 37 ans, était aboli au moment des faits mais deux autres avaient conclu qu'il n'était qu'altéré et que l'accusé était accessible à une sanction pénale.

Le juge d'instruction a suivi ces deux derniers avis et Nicolas Cocaign comparaîtra devant les assises pour "meurtre" avec "actes de torture et de barbarie".

Le 2 janvier 2007, Nicolas Cocaign avait reproché à l'un de ses co-détenus Thierry Baudry, 41 ans, d'avoir bouché les toilettes de la cellule avec du papier.
Il l'avait frappé à coups de poings et de pieds avant de le lacérer avec une lame de rasoir et de l'étouffer avec un sac en plastique.

Nicolas Cocaign avait ensuite découpé une partie des poumons avec la lame de rasoir en croyant qu'il s'agissait du coeur et l'avait mangée.
"Je voulais prendre son âme", avait-il expliqué aux enquêteurs. Son avocat, Me Fabien Picchiotino, a estimé "hallucinant" ce renvoi devant les assises. "Cela me surprend, au regard de l'extravagance du geste commis, que mon client soit déclaré - même partiellement - responsable", a-t-il déclaré."

Source : FRANCE 3 (29 mai 2009)

" Un jeune Egyptien s’est coupé le pénis pour protester contre le choix de ses parents qui refusaient qu’il se marie avec sa fiancée, a-t-on appris dimanche auprès de la police.

L'homme, un ouvrier agricole du village de Cheikh Eissa (sud) âgé de 25 ans, "était amoureux d'une femme. Ses parents l'ont refusée et lui ont dit d'en épouser une autre dont il ne voulait pas. Il a pris un couteau et s'est coupé le pénis dans sa chambre", a expliqué un responsable de la police locale.

Le jeune homme a été admis dimanche dans un état stable à l'hôpital où les médecins n'ont pas pu recoudre le membre sectionné, a précisé le responsable, ajoutant qu'il s'était aussi mutilé les testicules."

Source : BELGA (31 mai 2009)

C’était la femme de son vit. :death:

La présence de populations roms sur la territoire roubaisien pose des problèmes. On a franchi un cap jeudi soir avec une interpellation tumultueuse : une jeune femme a saisi un bébé d’un an par le pied pour frapper un policier.

Jeudi soir, une patrouille de police arrête un jeune homme pour défaut de permis et d’assurance. Le ton monte. Des renforts sont appelés. Une dizaine de policiers sont présents lorsque l’échange prend une tournure ahurissante. Une jeune Roumaine prend un bébé d’un an par un bras et une jambe et frappe une première fois un policier. Puis saisit l’enfant seulement par un pied et frappe à nouveau.

La femme tente ensuite de jeter le bébé au sol, qui est récupéré in extremis par les policiers. Mais ce n’est pas tout : des femmes se dénudent, envoient des giclées de lait maternel ( ! ) sur les fonctionnaires. Et un homme du camp se mutile : il s’entaille le ventre sur 20 cm. Les policiers lui portent les premiers secours…

Au club de foot Z, voisin des lieux, on attend avec impatience que le terrain soit vidé des caravanes. Depuis quelques mois, c’est très tendu : « Ils nous volent les ballons, ils envoient les enfants faire leurs besoins sur le stade alors qu’on s’entraîne… ». Dans le quartier, les habitants ont fait preuve de solidarité avec ces populations roms. Mais l’agressivité et le manque de respect sont insupportables. (Nord-Eclair)

Sépia, va récupérer ta famille

eh racli tu penav trop tu vas t’faire graillav

Chrqut?

lol t tro fosd mdr

t fosd tit man

çlt sa va?

moins marrant chez nos chtis avec la fermeture de sangatte, la gale est apparu dans la region, démerdez vous pour la source…
à moins que ce soit un topic pour des trucs « marrants » alors dans ce cas oubliez ce post

Marianne 2:

http://www.marianne2.fr/Fermeture-de-Sangatte-apres-moi-le-deluge_a174746.html

[quote=« xguillaumex »]
La présence de populations roms sur la territoire roubaisien pose des problèmes. On a franchi un cap jeudi soir avec une interpellation tumultueuse : une jeune femme a saisi un bébé d&#8217]

Linker le site au lieu de poster le contenu direct, bande de salops.

ahah : http://www.fdesouche.com/articles/50229

http://www.actualite-francaise.com/depeches/tgv-passe-dessus-indemne,5744.html

Bien joué, ils avaient qu’à le faire passer ailleurs leur train à la con.