En Birmanie, le punk n'est pas un jeu. C'est un mode de vie

Malgré les signes d’une plus grande ouverture, le gouvernement de la Birmanie continue à user d’une poigne de fer. Parmi ses objectifs, la scène punk, dont les groupes sont obligés de jouer et de répéter en secret afin d’éviter de lourdes sanctions. Ici, le punk n’est pas un mode de vie. Il s’agit d’un acte d’authentique rébellion.

Le groupe de punk Rebel Riot se trouve sur une scène improvisée dans un restaurant abandonné à la périphérie du centre-ville de Rangoon, la plus grande ville de Birmanie. Ils arborent des cheveux hérissés et des vestes en cuir clouté. « Saida ! Saida ! Saida ! » aboie Kyaw Kyaw le chanteur dans le micro, « Résistance ! Résistance ! Résistance ! »

L’article traduits par mes soins : ici

bah chez nous on comprend quasi rien au paroles des groupes qui chante en anglais, et c’est juste pour avoir l’air fun et mettre des fringues qui font que t’es un mec cool! ah c’est pas ça chez nous???

J’avais vu un reportage l’année dernière (il me semble) sur Arte là dessus. Non ça doit pas être évident c’est sur.